Bio Tim Chesley

Hi, my name is Tim Chesley. 

I am a French/American songwriter. 

I would describe my music as “Progressive Pop Music” (a mix between Pop & Progressive Rock – think for e.g. Anathema “Weather Systems” or Steven Wilson from Porcupine Tree). I believe in God and I am a Christian, and this has subtly inspired the lyrics in my songs.

I have done several independent releases in Australia and in France, before being signed in 2018 by Revolver Records (UK), an independent record label based in Wolverhampton (Stone Roses, Jane’s Addiction, etc.)

You can find my latest releases distributed by Revolver Records (“Maybe One Day” and “Rain”) on Amazon, Apple Music, Spotify, Deezer, and on my website at www.timchesley.com

During my years in Melbourne, I met some great musicians such as David Bridie (Not Drawning Waving, My Friend The Chocolate Cake), Daniel Gassin, Unified Gecko, San Lazaro, Belle Roscoe, Tim McMillan, Shivantha from ME3, my pals the LavaTones Mark Fitzpatrick and Dave Lindsay…

My time in Australia was great as it gave me chance to perform on a regular basis, with bands on the bass guitar or as solo act (electro-acoustic guitar + voice), to play in festivals, etc.

Over my musical career I had the chance to play in some memorable venues: the Gibus and the New Morning in Paris with Aloxe & Katerine Gierak (now “Mademoiselle K”), RRR FM, Manchester Lane, 303, Wesley Anne etc. in Melbourne. I have also performed in the US (around Newport, Rhode Island) & Mexico (Monterrey).

Back in France in 2010 I worked with Noxize (aka Flesh is The Fever) on the VERTIGO OBSERVER « electro pop » project (https://soundcloud.com/vertigo-observer) as a blend of our influences (electro for Noxize, pop for me).

Between 2012 & 2014 I worked again on new songs with my cousins Cyrille Latour (bass) and Matthieu Latours (drums), reforming what used to be the family band « Aloxe » for a few gigs around Paris.

In 2016 I ended up recording at the Music Factory studio in Herblay (around Paris) a 5 track EP, “Rain”, using the piano as the only common link between the different songs.

I sent a few copies of “Rain” to some record labels notably based in the UK (as I felt that the English market may be more receptive to my sound, largely influenced by the English artists I mentioned above), and it is that way that I ended being discovered and signed by Revolver Records.

The “Rain” EP was the first part of a concept called “Rain & Blue Sky” that reflects on the constant changes in our lives, which can be assimilated to the permanent changes in the weather.

The second part of the concept is “The Last Blue Sky” EP that I am proud to present today, which was also recorded with the Music Factory studio team (Julien Vonarb on the guitars and realization, Aurel Ouzoulias on the drums) as to keep the same sound and ambiance I had found on “Rain”.

“The Last Blue Sky” has a sort of “end of our times” feel, and an overall underlying comforting message that we are all called to live forever and to embrace eternity guided by the inner and deep sense of love which links us all together.

As for the previous releases, “The Last Blue Sky” can be found on the usual platforms such as Apple Music, Spotify, Deezer, and is scheduled to be released on October 13^th,

Tim Chesley

Tim Chesley est un auteur, compositeur et interprète franco-américain. Sa mère, musicienne et professeure de piano, lui fait commencer les cours et le solfège dès l’âge de 6 ans. A 15 ans, il troque le classique pour monter avec ses amis un groupe de métal qu’ils baptiseront “Macbeth”, son tout premier groupe. Durant son adolescence, Tim jouera dans plusieurs formations de reprises avant de faire ses propres compositions. Avec ses deux cousins, ils formeront par la suite le groupe “Aloxe” rejoint par Katerine Geriak (aujourd’hui Mademoiselle K).

Vous l’aurez compris, la musique accompagne Tim Chesley toute sa jeunesse durant. Malgré ses divagations, il sort en 2006 son premier véritable album solo intitulé “Tim Chesley” scellant ainsi son identité d’artiste. Enfin sur le chemin de la création et à la recherche d’un style qui lui ressemble, le chanteur prend la route de Melbourne en 2006 pour y découvrir la scène musicale australienne et ses nombreux artistes. Pendant 4 ans, il se produit en concerts guitare-voix en solo mais joue également dans des formations de jazz ou de rock en tant que bassiste.

Entre 2010 et 2016, après son retour en France, Tim Chesley s’auto-produit avant d’envoyer la maquette de son EP de 5 morceaux intitulé “Rain” à plusieurs labels et maisons de disque britanniques. Largement influencé par les groupes de rock progressifs tels que Rush (trio canadien), Genesis, Porcupine Tree, The Pineapple Thief, bercé dans la musique des années 70-80 par Led Zeppelin, The Eagles, The Police, Dire Straits, U2… il tente sa chance sur un marché qui lui parait adapté à sa “progressive pop music”.

C’est ainsi qu’il est découvert et signé chez Revolver Records en 2018, label indépendant anglais établi depuis 1982. Aujourd’hui toujours sous le même label, Tim Chesley reprend la route du rock avec un tout nouveau single intitulé “Dreamers”, venant annoncer la sortie de son nouvel album “The Last Blue Sky”.

Synopsis THE LAST BLUE SKY :

Dans une atmosphère à la fois rétro (70-80) et intemporelle, Tim Chesley nous apporte un son frais et une pop résolument rock et progressive avec son nouveau titre “Dreamers”. Dans l’EP “Rain” il trouvait son style, “The Last Blue Sky” est l’album de l’affirmation de son univers.

Le projet plutôt introspectif et spirituel se veut être une réflexion sur les changements constants que nous expérimentons dans nos vies, à l’image du ciel dont les nuances et les teintes varient à l’infini au-dessus de nos têtes. Entre un ambiance « fin du monde », et un message résolument optimiste, Tim Chesley a fait de cet album un concept dont le thème est universellement touchant, surtout en période de pandémie. Il nous appelle à vivre pour toujours et à embrasser l’éternité, et ce guidés par le sentiment intérieur et profond de l’amour qui nous lie tous ensemble, entre autres à travers la musique.

Chaque morceau de ce projet fait passer un message puissant avec des paroles qui lui viennent des tripes. C’est le cas de “Dreamers”, à découvrir en avant-première, invitant au rêve et à la liberté, à transcender les limites qu’on nous impose.

Si cet opus est tout particulièrement tourné vers le thème de la mort, il appelle surtout à positiver, à ne pas se décourager puisque selon l’artiste, ce qui nous attend tous c’est l’éternité. Donc à vous de rêver à partir du 29 septembre. La suite au prochain épisode…